Dubaï porta potty: Révélations d’une actrice ghanéenne sur des femmes qui couchent avec des chiens pour de l’argent

Depuis quelques jours, des histoires de femmes qui couchent avec des chiens de millionnaires de Dubaï pour de l’argent affolent la toile.

Plusieurs vidéos et témoignages de certaines jeunes filles victimes de cette pratique sont devenus viraux sur les médias sociaux.

Alors que certains internautes affirment que ces vidéos ne sont pas réelles, l’actrice de Kumawood Ellen Asante Korkor a déclaré qu’elles sont très authentiques. C’est la nouvelle source de revenus pour la plupart des célébrités féminines.

Dans une courte vidéo sur sa page Tiktok, Ellen affirme qu’une de ses amies célèbres a été invitée à Dubaï pour coucher avec le chien d’un millionnaire.

Selon l’actrice, la plupart des femmes qui ont été victimes de cette pratique baptisée « s3xe avec un chien pour de l’argent » sont avides et ne veulent pas travailler dur. Elles préfèrent profiter d’une vie de luxe aux dépens d’hommes riches.

Selon des rapports, certaines femmes sont maintenant payées jusqu’à 5 000 dollars par des millionnaires de Dubaï pour avoir des relations s3xuelles avec leurs chiens.

Le terme  » Dubaï Pota Potty » désignant « toilettes publiques » ou « femmes toilettes« , les femmes impliquées érigent donc leurs bouches en des toilettes, permettant à des hommes d’y déféquer ou uriner. Elles s’adonnent également à des rapports s3xuels avec des animaux.

Depuis le début du buzz sur la toile, les internautes indexent Eudoxie Yao comme étant pratiquante. La jeune ivoirienne brise le silence et révèle ce qu’elle faisait à Dubaï durant ses récents voyages.

« Pour tout l’or du monde je ne peux pas faire ça. J’aime l’argent, mais je ne peux pas tout faire pour de l’argent. (…) Moi, ce sont mes fans qui me donnent de l’argent. J’ai des fans multi millionnaires, donc je n’ai pas besoin de coucher avec qui que ce soit pour avoir de l’argent » a catégoriquement affirmé Eudoxie Yao.

C’est maintenant devenu une tendance et de plus en plus de femmes ont rejoint la longue file d’attente juste pour encaisser et financer leur style de vie luxueux.

Afrimag

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